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                                    79^ème anniversaire de la libération de SÈTE

Sitôt  les fêtes de la Saint Louis terminées  ,ce jour , 23 août  dès 9h00, s’est tenue la commémoration de la Libération de SETE du 23 août 1944, au monument du maquis Jean Pierre, promenade  Leclerc, à SÈTE.

Devant un public composé en grande partie des autorités municipales, régionales ou départementales , du Député de l’Hérault Aurélien LOPEZ-LIGUORI , des représentants des associations patriotiques ou non ( telle l’ANMONM -Ordre National du Mérite-), dans son discours Monsieur F. COMMEINHES  a rappelé les conditions de l’occupation de SÈTE dé Novembre 1942 à Août 1944, et notamment  les humiliations les suspicions , les arrestations et les déportations , la crainte de la Gestapo  très présente.

Il a cité le nombre de plus de 200 victimes du fait de la Guerre, 70 déportations dont beaucoup ne sont pas revenus .La ville a été déclarée sinistrée  dès 1945eu égard aux nombreux  et très importants dégâts  causés au départ des occupants.

De nombreuses gerbes ont été déposées  avant l’hommage aux  morts, l’Hymne national repris à cappella  pour se terminer par le remerciement aux porte- drapeaux.

Cela s’est poursuivi par un dépôt de gerbe  sur le quai n° 1 de la Gare SNCF de SÈTE  au pied d’une plaque dédiée aux cheminots victimes du devoir entre 1939 et 1945.

Texte   H. SABATIER                                                  Photos : G. KEIFFER

Libres propos à la suite de la pétition mise en ligne par le Collectif des Retraités de la Police et des Femmes des Forces de l’Ordre en Colère et de la Conférence de presse du 11 août 2023 à Aix-en Provence

Je crois utile de revenir sur cette tribune et cette pétition qui ont été mises en ligne la semaine dernière par un collectif de policiers retraités animé par mon ami, le Major honoraire Léon Beraudo, et auxquels se sont associées les Femmes des Forces de l’Ordre en Colère, car la transcription par la Presse de ces événements, et notamment dans La Provence le 12 août 2023, à la suite de la conférence de presse que nous avons tenue à Aix-en-Provence, ne reflète pas vraiment les propos et argumentations que nous avons developpés ce jour-là.

Le sens premier de cette tribune c’est un véritable cri de colère, de mécontentement, voire de douleur que nous avons exprimé à la place de nos collègues qui du fait de leur activité sont réduits au silence, et nous avons voulu aussi relayer en tant que citoyens la voix de la grande majorité silencieuse aussi du peuple français qui aime les forces de l’ordre, en particulier la Police Nationale. Lire la suite de cette entrée »